Premières expériences et engrenages : Chapitre 50 : Soin et récompense

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il y a 1 an

Chapitre 50 : Soin et récompense

  • Tu peux aller le soigner, lui retirer cette pâte et nous rejoindre au salon pour la suite, admit Maîtresse Diane à contre-cœur.

« Pour la suite » ! C’est tout ce que j’avais retenu. Ce n’était pas encore terminé pour ce soir ! Elles avaient prévu d’autres réjouissances. Quand cela devait-il se terminer ? Trop habitué à dominer mes propres séances finissant exclusivement sur une apothéose éjaculatoire, je m’étais convaincu que ces derniers coups de fouet achèveraient une soirée bien chargée.

Je ne me rendis pas compte immédiatement, mais la position prolongée, allongée le ventre le long du chevalet, les jambes écartées, les bras étirés devant, associée aux tourments que j’avais subis, avait entraîné des conséquences.

Mon corps s’était tétanisé, comme bloqué, coincé dans cette position. J’avais l’impression que toutes mes articulations avaient été rivetées, vissées, fixées définitivement par un quelconque moyen et que je ne bougerai plus, alors que Ladyscar venait de me détacher.

Le bas de mon dos prit un certain temps pour se décoincer et me permettre de me remettre droit. Mais ce n’était rien en comparaison à la difficulté de regrouper mes jambes. Comme un compas rouillé, il me fallut plusieurs essais consécutifs, progressifs, réunis afin de réussir cette simple opération. Mes épaules me lançaient alors que mes bras n’avaient été que juste disposés le long de mon corps.

Ces souffrances s’ajoutaient aux lacérations dont j’avais été couvert. J’étais une loque. Je ne parlai plus, ni ne cherchait à faire preuve de sarcasme. J’avais peur. Je craignais que la moindre de mes paroles entraineraient de nouvelles conséquences flagellatoires. J’étais brisé.

Ladyscar fut extrêmement patiente avec moi. Elle prit le temps que je remarche correctement, normalement, pour m’emmener à l’étage à la salle de bain. Les deux escaliers furent un calvaire et je n’avais pas de croix à porter si ce n’était celle de mon insouciance téméraire.

  • Tu ne devrais plus jouer d’arrogance, me dit-elle en voyant que, contrairement à mes habitudes, je ne disais mot. J’espère que cette leçon te suffira, me critiqua-t-elle.

Je voulus répliquer, ou infirmer ses dires, voire juste répondre, mais je m’abstins. Je n’avais rien à ajouter. Elle avait raison. Il fallait que j’apprenne à fermer ma grande gueule. Si mon attitude était supportée, plus ou moins, par ma maîtresse qui prenait cela comme un jeu, ce n’était pas le cas des deux autres dominatrices. Elles n’attendaient qu’une soumission totale. Et comme je l’avais déjà entendu de plusieurs personnes, y compris moi, je ne tiendrai pas deux jours à ce rythme-là.

Elle me lava sous la douche d’une baignoire de grande taille, pour m’enlever toutes traces de pâte. Elle prit son temps sur mes boules, sur mon sexe, à travers la cage de chasteté, mais sans néanmoins vouloir me la retirer. En avait-elle encore les clefs ? Une idée affreuse me traversa l’esprit. Et si pour entrer dans ce club, elle avait dû la leur donner ?

Pour mon anus, ce fut plus compliqué. J’étais gêné de la voir introduire un pommeau de douche en forme de fin gode dans mon cul. Je contractais mes fesses. La dernière fois que j’avais pris une douche avec une femme, la seule fois pourrai-je dire, je m’étais pissé dessus. Cette fois, il ne fallait pas que je chie.

  • Détends-toi ! me demanda-t-elle.

  • Je…J’ai…

Je ne savais pas comment lui expliquer la situation alors qu’elle tenait sa main juste en-dessous de mon anus.

  • Ce ne sera pas grave, dit-elle compréhensive. Cela aidera même à faire partir la pâte, même si ce sera probablement douloureux. De toute façon, il faut te laisser le trou du cul nickel. Il ne faudrait pas que cela s’infecte.

Cette façon de toujours savoir ce que je pensais. Était-ce cela l’amour ? Étais-je amoureux ? L’était-elle ? Non. Cela ne se devait pas. C’était une maîtresse. Ce n’est pas ce qu’elle devait attendre comme relation avec un soumis. Elle voulait juste son obéissance et sa dévotion. Non ?

Elle prit son temps pour me le nettoyer, bien plus que je ne l’avais jamais fait moi-même. Il est clair que leur ballon d’eau chaude était sans commune mesure avec celui de l’immeuble où j’habitais. Elle m’introduisit, après m’avoir séché, une pommade apaisante, désinfectante et cicatrisante. Elle commença par en mettre sur mon dos, le plus assailli, et poursuivit par mes cuisses, mes fesses, et la prolongea sur mes parties intimes. Cela m’excitait. L’ordre de ces lieux n’était-il que médical, j’en ressentais pourtant, pour la guider, la caresse experte de la sensualité. Elle prolongea le temps, bien que j’entendais les talons impatients de l’étage inférieur marteler le plancher de bois.

Nous passâmes ainsi la plus belle demi-heure de ma vie. J’en oubliai presque où nous étions. Tout en me massant, nous discutâmes de ce que je voulais faire après mon diplôme d’ingénieur. Nu entre ses mains, assise sur le rebord de la baignoire qui me servait de douche, elle semblait se plaire. Je n’étais même pas gêné.

A part la différence d’âge, ce petit côté incestueux qui sifflait dans mon oreille, ce moment était idyllique. La crème, rafraichissante, après la douche chaude, me soulageait de tous mes maux, mais moins que ses mains. Ses mains qui me parcouraient le corps ! Ces mains qui m’excitaient ! Ses doigts qui glissaient dans mes endroits intimes ! Ma verge, gonflée, blessée cherchait de sortir de sa cage, comme un animal se rappelant qu’il était sauvage, engendré pour vivre libre.

  • Il est temps de descendre, me rappela Ladyscar à la réalité. Nous n’en n’avons pas fini pour ce soir, ajouta-t-elle en posant ses lèvres sur les miennes.

Sa langue s’insinua dans ma bouche. Je répondais à sa sollicitation, tournant dans une danse lascive.

Croyez-moi si vous le pouvez, mais, après tout ce que j’avais subi, c’était la première fois que j’embrassai une femme.

Ce 50eme chapitre fini cet arc de la plus charmante des manières! Je ne pourrai lire la suite que dans 1 semaine, mais je suis persuadé de me régaler à ce moment! Merci à vous pour cette divine plume, c est un régal à lire!
Superbe récit en effet et je tiens aussi à souligner la rigueur nécessaire pour que chaque jour nous ayons le plaisir de découvrir la suite des aventures de ce soumis téméraire
Le prochain chapitre est sur https://fessestivites.com/recit/197644
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